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Imaginer la lumière comme un objet,

comme un graffiti impalpable occupant, l’espace d’un instant, un lieu qui subit le temps. Un graffiti éphémère que seul l’œil technologique est capable de graver sur sa rétine.

La lumière comme un objet  tentant de magnifier ce qui l’entoure, ce qui a été délaissé par d’autres, ce que la nature tente de reprendre en attendant d’être éclairé à nouveau.

Dans un monde de désuétude programmé, tenter de conserver le temps.

 

Capturer le temps qui passe et le regarder, immobilisé.

Éclairagiste et régisseur de spectacle, Rodolphe St-Arneault fait de la photographie un projet artistique parallèle à sa carrière en coulisse. Adepte de la technique du « light painting » ou graffiti lumineux, il explore sur scène et sur photo les différentes propriétés de la lumière, fixe ou mobile.

Il profite des ses tournées pour trouver un peu partout des lieux étonnant à illuminer.

 

 

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